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Cet épisode est un peu sauvé par les décors et plus généralement l'ambiance de ce Londres envoutant. On a envie de regarder l'intégralité de la pièce de théâtre et d'errer dans ces rues à nos risques et périls.
Les intrigues avancent en diagonale et de faon moins subtil, c'est ce que je regrette un peu.
Le tout reste un plaisir malgré tout.
Les intrigues avancent en diagonale et de faon moins subtil, c'est ce que je regrette un peu.
Le tout reste un plaisir malgré tout.
Quand James Ivory rencontre le Dracula de Coppola qui lui-même rencontre la Ligue Des Gentlemen Extraordinaire.
C'est justement ce croisement bâtard qui donne une impression intrigante à cette série.
Ivory pour la qualité et l'élégance de la réalisation, des décors, de la reconstitution de l'Angleterre de l'époque et des costumes.
Le Dracula de Coppola. J'ai l'impression de me retrouver face à un prequel du film de tonton Francis. Le comte Vlad arrive, Mina est en danger...
Enfin la Ligue des Gentlemen puisque tout le monde est presque là . Il ne manque plus que le dr Jekyll,le Loup Garou de Londres et pourquoi pas Sherlock Holmes tant qu'on y est.
Les pièces du puzzle se mettent en place (très, trop ?) lentement, la lutte promets d'être sanglante et épique (si les scénaristes tiennent la promesse, gonflée , d'avoir ajouté au mythe de Dracula une pincée d'ésotérisme inspiré de l'Égypte Ancienne) et bon dieu qu'Eva Green est sublime.
C'est justement ce croisement bâtard qui donne une impression intrigante à cette série.
Ivory pour la qualité et l'élégance de la réalisation, des décors, de la reconstitution de l'Angleterre de l'époque et des costumes.
Le Dracula de Coppola. J'ai l'impression de me retrouver face à un prequel du film de tonton Francis. Le comte Vlad arrive, Mina est en danger...
Enfin la Ligue des Gentlemen puisque tout le monde est presque là . Il ne manque plus que le dr Jekyll,le Loup Garou de Londres et pourquoi pas Sherlock Holmes tant qu'on y est.
Les pièces du puzzle se mettent en place (très, trop ?) lentement, la lutte promets d'être sanglante et épique (si les scénaristes tiennent la promesse, gonflée , d'avoir ajouté au mythe de Dracula une pincée d'ésotérisme inspiré de l'Égypte Ancienne) et bon dieu qu'Eva Green est sublime.
Des partouzes, des mondanités et de la romance... et toujours pas de projet, en tout cas pas de réelle avancée susceptible de créer une attente quelconque. On a le vampire qui se radine, mais se casse les dents puisque Ives était sortie au spectacle. Une furieuse impression que les scénaristes jouent la montre et je ne comprends pas trop pourquoi vu qu'il s'agit quand même d'imposer une nouvelle série...
Et pourtant j'hallucine devant la direction artistique de la production. Ils ont littéralement pillé les antiquaires du coin. Il y a un souci du détail, une beauté des décours qui est remarquable.
Le problème c'est qu'on se demande juste ce qu'on fout là ...
Et pourtant j'hallucine devant la direction artistique de la production. Ils ont littéralement pillé les antiquaires du coin. Il y a un souci du détail, une beauté des décours qui est remarquable.
Le problème c'est qu'on se demande juste ce qu'on fout là ...